Carrière : maîtriser les jeux de pouvoirs pour mieux réussir
Plus vous vous approchez du sommet hiérarchique d’une organisation, plus la concurrence est forte. Évoluer vers des postes à fortes responsabilités et y rester n’est
Plus vous vous approchez du sommet hiérarchique d’une organisation, plus la concurrence est forte. Évoluer vers des postes à fortes responsabilités et y rester n’est
Dans l’entreprise, lorsqu’il est question de faire une acquisition, de lancer un audit, de réaliser une opération marketing…, vous n’hésitez pas à faire appel à des cabinets externes dont c’est l’expertise pour vous épauler. En revanche, lorsqu’il s’agit de votre carrière ou de votre avenir professionnel, vous n’avez pas toujours le même réflexe. L’enjeu est pourtant tout aussi crucial.
En cette fin d’année, je voulais aborder un sujet qui me tient à cœur : celui de l’équilibre.
Cela fait plusieurs années que je travaille avec mes clients pour les orienter vers un leadership plus conscient, plus complet et surtout plus équilibré. En effet, plus les cadres montent dans la hiérarchie, plus ils sont sollicités et il est très facile de sombrer dans une sorte de workaholisme imposé et de faire passer son travail avant toute chose sans même se rendre compte qu’un déséquilibre s’est créé.
Les fonctions de cadres dirigeants et de top management demandent une très grande énergie pour faire face aux enjeux business. Pourtant, le rythme imposé par ces postes avec de nombreux déplacements professionnels et dîners d’affaires mettent votre équilibre de vie à mal au moment où vous en avez le plus besoin et où vous êtes peut-être le plus attendu. Cet article décrypte les risques que le mode de vie de ces postes entraîne et qui sont souvent sous-estimés. Vous trouverez également des pistes pour rester performant dans la durée.
Est-ce qu’être diplômé de la plus grande école (ou des plus grandes écoles de commerce ou d’ingénieurs) fait de soi forcément un bon leader ou garantit le succès d’une carrière ? La réponse est non. Pourtant, certains cadres qui ont suivi des formations entre guillemets moins réputées peuvent avoir tendance à ressentir un plafond de verre, à se sentir moins légitimes et à développer une sorte de complexe d’infériorité.