Seuls 28 % des expatriés ont bénéficié d’une promotion à leur retour et 47 % ont préféré changer d’employeur, selon une étude BVA-Berlitz Consulting. Les salariés et leurs familles ont-ils la fibre «globe-trotteurs» ? À en croire les résultats de l’Observatoire de l’expatriation
Quand on est en expatriation, qu’on le veuille ou non, on est loin. Il est donc plus compliqué de maintenir le lien avec l’entreprise, de savoir ce qu’il se passe au siège, d’être au courant de tous les changements d’organisation, de hiérarchie et surtout de pouvoir montrer ce que l’on fait…
Aussi, si vous avez l’occasion de pouvoir y participer, soyez ravis !
Rien de pire que de dire « J’ai tout fait, on partait de rien, il y avait un gros problème de compétences localement. J’ai eu des responsabilités incroyables. J’ai énormément donné, cette expérience a été très enrichissante ».
Evidemment, ceci est une caricature mais attention cependant à ne pas tomber dans le travers de la généralité qui, au final ne vous apportera rien voire éventuellement vous desservira.
En rentrant d’expatriation, il y a du poids dans la balance…profitez-en ! Pour votre entreprise, votre retour a de l’enjeu. Elle compte obtenir un certain « retour sur investissement » et de toute évidence, elle veut utiliser vos compétences et vos connaissances
La fin de votre contrat d’expatriation arrive prochainement à terme : assurez-vous de valider votre date de fin le plus tôt possible.
Question de base me direz-vous ?
Non pas tant que ça…beaucoup d’entre nous ont la fâcheuse tendance à attendre que l’entreprise revienne vers nous. Si la gestion des expatriés est extrêmement bien gérée dans votre société, vous devriez être au courant suffisamment tôt ; si ce n’est pas le cas, surtout, osez prendre les devants.
